Les spaghettis bolognaises de la politique italienne
Le président du Sénat italien Franco Marini a annoncé lundi soir l'échec de ses consultations avec les partis politiques pour trouver une solution à la crise ayant fait suite à la démission de Romano Prodi le 24 janvier dernier. Un retour aux urnes aura donc lieu, deux ans après les dernières législatives. Silvio Berlusconi a effectivement refusé tout compromis avec la gauche sur une réforme de la loi électorale, affirmant que celle actuelle - accusée de favoriser les petits partis et de rendre le pays difficilement gouvernable - avait donné "de bons résultats". Cette loi avait été votée pendant le mandat de M. Berlusconi en décembre 2005, quelques mois avant les législatives d'avril 2006 remportées de justesse par la gauche.
Le prochain scrutin aura lieu les 13 et 14 avril et verra s'affronter, d'un côté, Walter Veltroni – actuel maire de Rome et chef du nouveau Parti démocrate (PD) suite au désistement de Romano Prodi – et de l'autre, Silvio Berlusconi, menant une traditionnelle coalition de droite.
Alors pour comprendre ça, moi y'en avoir dû lire « Passer l'ENA pour les nuls » parce que franchement c'est pas aussi simple que de se faire des pates comme mode constitutionnel… Un peu comme essayer de comprendre la grammaire française quand on est étranger : ben pourquoi un coup on prononce GUI comme « linguistique », et un autre coup comme « guide » ??? Parce que c'est comme ça !!! Eh ben c'est pareil pour la constitution italienne…
Voili, voilou, ciao, arrivederci, abrazo et forza j'sais pas quoi !
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